• Voilà quelques temps désormais que j'ai dans mon escarcelle un projet de super-héroïne locale qui n'attendait qu'un bon coup de crayon pour s'éveiller!

     

    C'est désormais chose faite grâce à Logan Kowalsky qui a su lui donner corps.

     

     

     

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  • Comment réagiriez vous si vous aviez des pouvoirs?

    Que vous décidiez de faire le bien, mais que votre pouvoir fut bien sombre...

    Si votre propre histoire ne vous était pas connue.

     

    Vous imagineriez que ce n'est qu'illusion?

    Et si tout n'était que ...

    Chimère...


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  • le software de la pomme a la bonne idée depuis quelques années d'offrir à ses possesseurs un morceau de musique par semaine (voire plus de temps en temps). Loin de dénigrer, j'en profite à chaque occasion ou presque, mais je me demande à l'écoute de ces morceaux quel est la volonté d'Apple France?

     

    iTunes s'achète une conduite musicale?

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    Voici un petit dialogue entre Jean-François Coppé et un ami qu’il n’a pas vu de longue date. Ceci est évidemment une fiction sarcastique totalement improbable, M. Coppé n’ayant pas d’amis.

    Dialogue de sourd...

     

     

     

     

     

     

     

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  • Alors voilà, les films de super-héros fleurissent depuis quelques années maintenant, et chacun y va de son avis sur le héros, le scénario ou la fidelité à l'original...

    Mais quid des ennemis ? Combien sont-ils à avoir (beaucoup) perdu lors du passage au grand écran ? Que ce soit dans le caractère ou dans l'esthétique, nombreux sont les méchants qui finissent par se rendre ridicules et cela malgré les écueils déjà vécus lors des premières grosses productions super-héroïques (notamment chez DC avec les Batman).

     C'est qui le plus moche?

     

     

     

    La question se pose donc et je vous la pose maintenant:

    "qui est le super-vilain le plus raté de ces dernières années ?"

    Je vous propose évidemment mes "préférés" parmi les plus récents, mais libre à vous d'en ajouter d'autres dans vos réponses.

     

    a) bullseye dans "Daredevil", parce que franchement il a une tête de gland...

    C'est qui le plus moche?

     

     

     

     

     

    b) Kingpin dans "Daredevil" (encore), parce qu'il en aurait fallu 2 comme lui pour faire le poids!

    C'est qui le plus moche?

     

     

     

     

     

     

     

    c) The Juggernaut dans "Xmen 3", parce qu'on a pas dû lire les mêmes épisodes des Xmen.

    C'est qui le plus moche?

     

     

     

     

     

     

     

     

    d) the abomination dans "the incredible Hulk", parce qu'il porte juste bien son nom...

    C'est qui le plus moche?

     

     

     

     

     

     

     

    e) red skull dans "Captain America the first avenger", parce que c'est pas parce que Cap est raté que son ennemi doit l'être aussi

    C'est qui le plus moche?

     

     

     

     

    f) the lizard dans "the amazing spiderman", parce que la gueule du lézard ne repousse visiblement pas, contrairement à sa queue

    C'est qui le plus moche?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    g) the joker dans "the dark knight", parce que le Joker n'a jamais été un clodo dégoûtant...

    C'est qui le plus moche?

     

     

     

     

    h) Bane dans "the Dark Knight Rises", parce que j'ai du mal à l'imaginer doubler de volume sous l'effet des drogues

    C'est qui le plus moche?

     

     


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    Difficile, dirons certains, de définir ce que nous a apporté une chose, sachant qu’on n’a aucune idée de ce que nous serions devenus sans… Difficile, mais pas impossible.

     

    Commençons par le commencement, qu’étais-je avant le jeu de rôle ? Un jeune pré-adolescent, mal dans sa peau (comme beaucoup je l’avoue) assez silencieux, peu sociable et ayant donc, fort logiquement,  très peu d’amis.

     

    J’ai découvert le jeu de rôle en fin de troisième je crois, durant les vacances scolaires, après avoir dévoré au collège une trilogie incroyable, « le seigneur des anneaux » de Tolkien et bien après avoir commencé d’user les fameux « livres dont vous êtes le héros ».

     

    Cet été-là, un lointain cousin de région parisienne (que je ne remercierai jamais assez) m’avait invité quelques jours chez lui et c’est là que la rencontre eut lieu! Je fus initié à ces jeux qui, sans être du théâtre, n’en sont pas pour autant de simples jeux de table. Au détour des jours passés chez lui, je découvrais des jeux tels qu’Hawkmoon, Stormbringer ou JRTM. Finalement, le jour de mon départ (Imaginez donc !), il m’offrit mon premier jeu de rôle : Warhammer, un jeu qu’il n’utilisait plus lui-même.

     

    J’étais aux anges, je rentrais chez moi les yeux pleins d’étoiles et le cerveau plein de rêves ! Mais encore me fallait-il trouver des comparses pour m’essayer moi aussi aux joies de la maîtrise d’un scénario et d’un univers !

     

    C’est là où la fortune frappa de nouveau à ma porte. En effet par de miraculeux hasards je croisais, dès la seconde, de futurs camarades de jeux, tout aussi sympathiques que différents.

     

    Je ne les ai jamais plus quittés…

     

     

     

    Mais trêves de bavardage et venons-en au fait !

     

    Au-delà de cette belle histoire juvénile et fort de nombreuses années  de jeux, je peux désormais me retourner sur cet adolescent mal dans sa peau et reconnaître sans détour tout ce que m’a apporté ce hobby:

     

    Avant tout, mes meilleurs amis, dont la valeur et la force d’amitié m’a déjà été prouvée à maintes reprises. Nous avons affronté bien des déboires, réels ou imaginaires, mais au final, notre amitié a toujours repris le dessus. Pour ce simple cadeau, le jeu de rôle vaut à lui seul tous les autres passe-temps que j’ai pu avoir ou que j’aurai un jour.

     

    Autre apport, une meilleure connaissance de moi-même. C’est fou ce que l’on se découvre en jouant des rôles différents… Et l’on se rend compte bien souvent que tous ces rôles (que l’on souhaiterait hétéroclites) sont au final un peu toujours les mêmes … 

     

    Tout autant, le jeu de rôle m’a offert une meilleure connaissance des autres. De mes amis bien-entendu, car au même titre que moi, plus ils se cachaient derrière des personnages, plus ils montraient qui ils étaient réellement. Mais de l’Autre aussi en général, car à force de jauger, regarder, chercher à comprendre des univers et des personnages virtuels, on finit par être plus attentif aussi au monde qui nous entoure.

     

    Je n’oublierai pas non plus que ma soif de culture dérive largement de cette passion. Difficile sans être rôliste de s’intéresser aux us et coutumes du moyen-âge, à l’héraldique, aux légendes fondatrices de nombreux pays ainsi qu’à leur histoire générale, aux principales religions mono et polythéistes passées présentes ou virtuelles,  d’être à la pointe des dernières découvertes scientifiques et technologiques, d’écouter toute sorte de musique (du classique au métal ), d’avoir lu des auteurs tels qu’Asimov, Verne, Zelazny, Pratchett, Gaiman, Lovecraft ou P.K. Dick et d’être capable d’aller chercher, n’importe où et n’importe quand, de quoi imaginer des scénarii improbables et agréables dans lesquels plonger ses amis le temps de quelques soirées.

     

    De plus, le jeu de rôle, dans sa pratique, m’a également amené une certaine facilité à m’exprimer face aux autres. En effet, lors des parties de jeu de rôle, nos amis sont notre premier public et l’on essuie les plâtres avec eux (surtout si l’on est un peu introverti), mais l’on y gagne de l’expérience et de l’aisance à l’oral si l’on se laisse prendre au jeu.

     

    Et pour finir, et c’est peut-être le plus superficiel mais certainement pas le moins agréable, j’y ai gagné de fabuleuses soirées entre amis, pleines de jeux, d’enquêtes, d’éclats de rire, d’émotions, de jets de dés chanceux et moins chanceux ; ensemble de souvenirs étonnants et merveilleux qui resteront gravés à tout jamais dans ma mémoire d’homme et de rôliste.

     

    Voilà, s’il fallait que je le fasse, ce que je dirai que le jeu de rôle m’a apporté.

     


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